Des mots à la bouche : l’ anthologie poétique sonore de la 4e2

Découvrez l’anthologie poétique de la 4e2 !

Au fil de leurs lectures, les élèves de 4e2 ont découvert de nombreux poèmes. Voici ceux qu’ils ont choisis.

 

« La Vie fait ce qui lui chante », Grégor Le Veilleur, 2007.

 

« Demain, dès l’aube », Victor Hugo, Les Contemplations, 1847.

 

« Le Pont Mirabeau », Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913.

 

« Le Cancre », Jacques Prévert, Paroles, 1972.

 

« Chanson d’Automne », Paul Verlaine, Poèmes Saturniens, 1866.

 

« Paris », Kamal Zerdoumi, L’Exil et la Mémoire, 2011.

 

« Ode à Cassandre », Pierre de Ronsard, Amours, 1562.

 

« Ce merveilleux mot, Amitié », Maxalexis, L’Amitié sincère, 2001.

 

Un extrait de la fable « Le Berger et le Roi », La Fontaine, Fables, 1678.

 

« Éléphant de Paris », Paul-Jean Toulet, Contrerimes, 1921.

 

« Soleil couchant », Paul Verlaine,  Poèmes saturniens, 1866.

 

« Amitié fidèle », Nicolas Boileau, Poésies, 1654.

 

« A Jeanne », Victor Hugo, Chansons des rues et des bois, 1866.

 

« La Courbe de tes yeux… », Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926.

 

« Je vis, je meurs… », Louise Labé, Sonnets, 1555.

 

« L’Arrière-saison », Kamal Zerdoumi, L’Exil et la Mémoire, 2011.

 

« L’habitude », Jean Follain.

 

 » La Mer », Nérée Bauchemin, Les Floraisons matutinales, 1897.

 

« Ode à Cassandre », Pierre de Ronsard, Amours, 1562.

 

« A la Malibran », Alfred de Musset, Poésies nouvelles, stances VII et VIII, 1836-1852.

 

 » Pour tour ce qui est de vie », François Cheng, À l’orient de tout, Qui dira notre nuit, 2005.

 

« Jour pluvieux d’automne », Michel Beau, La Farandole des saisons.

 

« Le Buffet », Arthur Rimbaud, Poésies, 1870.

 

 

Nicolas Poussin, Paysage avec Orphée et Eurydice, détail, Musée du Louvre, vers 1650-1653.

 

 

1 Commentaire

    • Zerdoumi sur 18 décembre 2015 à 0 h 25 min
    • Répondre

    Madame, Monsieur,

    Que mon poème ait été choisi et dit par des élèves de quatrième m’honore et m’émeut. J’ai été enseignant de lettres. Me voila a présent au royaume de « ces drôles de types qui vivent de leur plume ou qui ne vivent pas ca dépend la saison » comme le chantait ce grand héritier du romantisme que fut Leo Ferré.

    Cordialement.

    Kamal Zerdoumi.

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